Національний мультитест з французької мови – Демоваріант

– Maman, j’ai faim.

– Attends un peu, Thomas, le repas _______________ prêt dans 15 minutes.

– Enfants, _____________ notre attention sur cet exercice!

– Lucie, as-tu des frères et des sœurs?

– Oui, ma sœur est à l’école primaire et mon frère travaille ______________ Malaisie.

– ______________ préfères-tu? Un film ou un documentaire?

– Ce soir, je voudrais voir un débat à la télé.

Le tourisme, c’est lorsqu’on part (23) __________, un certain temps, se reposer, s’amuser, visiter… Pendant longtemps, seules les personnes les plus riches en ont eu les moyens. Mais désormais, des millions de Terriens (24) ___________ le monde: du pôle Nord au Sahara, de New York aux îles du Pacifique. Le tourisme est ainsi devenu (25) __________ en plein développement. Normal! Il rapporte de (26) __________ et pousse les pays à se moderniser en construisant des routes, des gares, des aéroports. Le tourisme donne aussi du travail à des millions de personnes: (27) ___________ les hôtels, les restaurants, les loisirs, les transports… Pour les pays pauvres, il est parfois la seule activité qui apporte des ressources et crée des emplois.

Le tourisme, c’est lorsqu’on part (23) __________, un certain temps, se reposer, s’amuser, visiter… Pendant longtemps, seules les personnes les plus riches en ont eu les moyens. Mais désormais, des millions de Terriens (24) ___________ le monde: du pôle Nord au Sahara, de New York aux îles du Pacifique. Le tourisme est ainsi devenu (25) __________ en plein développement. Normal! Il rapporte de (26) __________ et pousse les pays à se moderniser en construisant des routes, des gares, des aéroports. Le tourisme donne aussi du travail à des millions de personnes: (27) ___________ les hôtels, les restaurants, les loisirs, les transports… Pour les pays pauvres, il est parfois la seule activité qui apporte des ressources et crée des emplois.

Le tourisme, c’est lorsqu’on part (23) __________, un certain temps, se reposer, s’amuser, visiter… Pendant longtemps, seules les personnes les plus riches en ont eu les moyens. Mais désormais, des millions de Terriens (24) ___________ le monde: du pôle Nord au Sahara, de New York aux îles du Pacifique. Le tourisme est ainsi devenu (25) __________ en plein développement. Normal! Il rapporte de (26) __________ et pousse les pays à se moderniser en construisant des routes, des gares, des aéroports. Le tourisme donne aussi du travail à des millions de personnes: (27) ___________ les hôtels, les restaurants, les loisirs, les transports… Pour les pays pauvres, il est parfois la seule activité qui apporte des ressources et crée des emplois.

Le tourisme, c’est lorsqu’on part (23) __________, un certain temps, se reposer, s’amuser, visiter… Pendant longtemps, seules les personnes les plus riches en ont eu les moyens. Mais désormais, des millions de Terriens (24) ___________ le monde: du pôle Nord au Sahara, de New York aux îles du Pacifique. Le tourisme est ainsi devenu (25) __________ en plein développement. Normal! Il rapporte de (26) __________ et pousse les pays à se moderniser en construisant des routes, des gares, des aéroports. Le tourisme donne aussi du travail à des millions de personnes: (27) ___________ les hôtels, les restaurants, les loisirs, les transports… Pour les pays pauvres, il est parfois la seule activité qui apporte des ressources et crée des emplois.

Le tourisme, c’est lorsqu’on part (23) __________, un certain temps, se reposer, s’amuser, visiter… Pendant longtemps, seules les personnes les plus riches en ont eu les moyens. Mais désormais, des millions de Terriens (24) ___________ le monde: du pôle Nord au Sahara, de New York aux îles du Pacifique. Le tourisme est ainsi devenu (25) __________ en plein développement. Normal! Il rapporte de (26) __________ et pousse les pays à se moderniser en construisant des routes, des gares, des aéroports. Le tourisme donne aussi du travail à des millions de personnes: (27) ___________ les hôtels, les restaurants, les loisirs, les transports… Pour les pays pauvres, il est parfois la seule activité qui apporte des ressources et crée des emplois.

La fête de l’astronomie

Comme chaque année, les amateurs d’astronomie pourront (17) __________ des «Nuits des étoiles». De nombreux sites d’observation seront proposés partout en France. Les animations débuteront (18) ___________ et se poursuivront pendant tout le weekend en France, mais aussi dans plusieurs pays d’Europe et d’Afrique. Le thème des «Nuits 2011» est «Couleurs d’étoiles».

Des centaines d’animateurs bénévoles et d’astronomes amateurs attendront ceux (19) __________ à l’observation du ciel et à la découverte de la Voie Lactée. On compte cette année quelque 340 manifestations. Chacune compose son propre programme d’animation. Les organisateurs s’attachent à renouveler tous les ans, une manifestation gratuite, ouverte à tous, dans (20) __________ des connaissances et de découverte de l’astronomie.

Alors (21) ___________ «Juniors» seront animés par des enfants ou des jeunes encadrés par les équipes pédagogiques de leur séjour ou centre de vacances. Pour connaître tous les détails des «Nuits des étoiles» et savoir où se trouve le site d’observation (22) __________ de chez vous, vous pouvez visiter le site: https://www.afastronomie.fr/les-nuits-des-etoiles

La fête de l’astronomie

Comme chaque année, les amateurs d’astronomie pourront (17) __________ des «Nuits des étoiles». De nombreux sites d’observation seront proposés partout en France. Les animations débuteront (18) ___________ et se poursuivront pendant tout le weekend en France, mais aussi dans plusieurs pays d’Europe et d’Afrique. Le thème des «Nuits 2011» est «Couleurs d’étoiles».

Des centaines d’animateurs bénévoles et d’astronomes amateurs attendront ceux (19) __________ à l’observation du ciel et à la découverte de la Voie Lactée. On compte cette année quelque 340 manifestations. Chacune compose son propre programme d’animation. Les organisateurs s’attachent à renouveler tous les ans, une manifestation gratuite, ouverte à tous, dans (20) __________ des connaissances et de découverte de l’astronomie.

Alors (21) ___________ «Juniors» seront animés par des enfants ou des jeunes encadrés par les équipes pédagogiques de leur séjour ou centre de vacances. Pour connaître tous les détails des «Nuits des étoiles» et savoir où se trouve le site d’observation (22) __________ de chez vous, vous pouvez visiter le site: https://www.afastronomie.fr/les-nuits-des-etoiles

La fête de l’astronomie

Comme chaque année, les amateurs d’astronomie pourront (17) __________ des «Nuits des étoiles». De nombreux sites d’observation seront proposés partout en France. Les animations débuteront (18) ___________ et se poursuivront pendant tout le weekend en France, mais aussi dans plusieurs pays d’Europe et d’Afrique. Le thème des «Nuits 2011» est «Couleurs d’étoiles».

Des centaines d’animateurs bénévoles et d’astronomes amateurs attendront ceux (19) __________ à l’observation du ciel et à la découverte de la Voie Lactée. On compte cette année quelque 340 manifestations. Chacune compose son propre programme d’animation. Les organisateurs s’attachent à renouveler tous les ans, une manifestation gratuite, ouverte à tous, dans (20) __________ des connaissances et de découverte de l’astronomie.

Alors (21) ___________ «Juniors» seront animés par des enfants ou des jeunes encadrés par les équipes pédagogiques de leur séjour ou centre de vacances. Pour connaître tous les détails des «Nuits des étoiles» et savoir où se trouve le site d’observation (22) __________ de chez vous, vous pouvez visiter le site: https://www.afastronomie.fr/les-nuits-des-etoiles

La fête de l’astronomie

Comme chaque année, les amateurs d’astronomie pourront (17) __________ des «Nuits des étoiles». De nombreux sites d’observation seront proposés partout en France. Les animations débuteront (18) ___________ et se poursuivront pendant tout le weekend en France, mais aussi dans plusieurs pays d’Europe et d’Afrique. Le thème des «Nuits 2011» est «Couleurs d’étoiles».

Des centaines d’animateurs bénévoles et d’astronomes amateurs attendront ceux (19) __________ à l’observation du ciel et à la découverte de la Voie Lactée. On compte cette année quelque 340 manifestations. Chacune compose son propre programme d’animation. Les organisateurs s’attachent à renouveler tous les ans, une manifestation gratuite, ouverte à tous, dans (20) __________ des connaissances et de découverte de l’astronomie.

Alors (21) ___________ «Juniors» seront animés par des enfants ou des jeunes encadrés par les équipes pédagogiques de leur séjour ou centre de vacances. Pour connaître tous les détails des «Nuits des étoiles» et savoir où se trouve le site d’observation (22) __________ de chez vous, vous pouvez visiter le site: https://www.afastronomie.fr/les-nuits-des-etoiles

La fête de l’astronomie

Comme chaque année, les amateurs d’astronomie pourront (17) __________ des «Nuits des étoiles». De nombreux sites d’observation seront proposés partout en France. Les animations débuteront (18) ___________ et se poursuivront pendant tout le weekend en France, mais aussi dans plusieurs pays d’Europe et d’Afrique. Le thème des «Nuits 2011» est «Couleurs d’étoiles».

Des centaines d’animateurs bénévoles et d’astronomes amateurs attendront ceux (19) __________ à l’observation du ciel et à la découverte de la Voie Lactée. On compte cette année quelque 340 manifestations. Chacune compose son propre programme d’animation. Les organisateurs s’attachent à renouveler tous les ans, une manifestation gratuite, ouverte à tous, dans (20) __________ des connaissances et de découverte de l’astronomie.

Alors (21) ___________ «Juniors» seront animés par des enfants ou des jeunes encadrés par les équipes pédagogiques de leur séjour ou centre de vacances. Pour connaître tous les détails des «Nuits des étoiles» et savoir où se trouve le site d’observation (22) __________ de chez vous, vous pouvez visiter le site: https://www.afastronomie.fr/les-nuits-des-etoiles

La fête de l’astronomie

Comme chaque année, les amateurs d’astronomie pourront (17) __________ des «Nuits des étoiles». De nombreux sites d’observation seront proposés partout en France. Les animations débuteront (18) ___________ et se poursuivront pendant tout le weekend en France, mais aussi dans plusieurs pays d’Europe et d’Afrique. Le thème des «Nuits 2011» est «Couleurs d’étoiles».

Des centaines d’animateurs bénévoles et d’astronomes amateurs attendront ceux (19) __________ à l’observation du ciel et à la découverte de la Voie Lactée. On compte cette année quelque 340 manifestations. Chacune compose son propre programme d’animation. Les organisateurs s’attachent à renouveler tous les ans, une manifestation gratuite, ouverte à tous, dans (20) __________ des connaissances et de découverte de l’astronomie.

Alors (21) ___________ «Juniors» seront animés par des enfants ou des jeunes encadrés par les équipes pédagogiques de leur séjour ou centre de vacances. Pour connaître tous les détails des «Nuits des étoiles» et savoir où se trouve le site d’observation (22) __________ de chez vous, vous pouvez visiter le site: https://www.afastronomie.fr/les-nuits-des-etoiles

Situé dans un bel immeuble en pierre de Caen, au-dessus d’un restaurant, l’hôtel La Fontaine vient d’être entièrement métamorphosé par les nouveaux propriétaires. Literie haut de gamme, style épuré et moderne, luminaires et têtes de lit design et un accueil chaleureux n’ont pas manqué de séduire les clients. L’établissement de 10 chambres enregistrait dès l’été un taux d’occupation de l’ordre de 90 % et figurait comme le meilleur hôtel par ses avis clients parmi 41 établissements de la ville (avec 78 avis), début décembre sur TripAdvisor. En phase d’ouverture, l’hôtel est particulièrement attentif aux avis en ligne et incite ses clients à déposer leurs commentaires.

Lequel de ces hôtels _____________?

Situé au cœur de Dol-de-Bretagne, non loin du Mont-Saint-Michel et de Saint-Malo, l’établissement a ouvert ses portes en février dernier. Visite des lieux avec Émilie God, globetrotteuse, entrepreneuse, qui a pensé le concept. C’est en observant qu’il n’existait pas d’hébergement de type «hostel» en Bretagne que Émilie God a eu l’idée d’en ouvrir un. Placé à proximité immédiate de la gare de Dol-de- Bretagne, entre le Mont-Saint-Michel (à 25 km), Saint-Malo (à 25 km) et Dinan, l’établissement allie un côté hôtel design et l’auberge de jeunesse traditionnelle. Le nom «Edd Hostel» a été choisi en référence à une devise de Mark Twain selon laquelle le voyage forme la jeunesse et se terminant par «Explore Dream Discover» (EDD).

Lequel de ces hôtels _____________?

Le Best Western Arthur Rimbaud a ouvert ses portes à Paris, le 21 mars dernier, une date symbolique puisqu’il s’agit de la Journée mondiale de la poésie. Il rend hommage au poète, «l’homme aux semelles de vent». Dans les espaces communs, les clients trouveront des vitrines renfermant des éditions originales provenant des collections privées de Jacques Letertre, président de la Société des Hôtels littéraires (SDHL) et passionné de littérature. Une bibliothèque de quelque 500 livres et biographies en différentes langues en lien avec le poète est également mise à disposition des clients.

Les 42 chambres sont personnalisées par des poèmes de l’auteur et des aquarelles de Jean Aubertin.

Lequel de ces hôtels _____________?

Conçu par Henri Negrescu au début du siècle, le Negresco fait partie de ces rares exceptions hôtelières relevant le défi du temps avec succès. Année après année, l’hôtel n’a cessé de briller sur la promenade des Anglais.

Œuvres d’art et mobilier précieux, éclectique mélange d’époques et de styles: le Negresco affiche son goût certain pour le beau, à travers ses 6 000 œuvres traversant les siècles (du XVIIe à nos jours) et ses salons dédiés à Louis XVI, Napoléon III mais aussi ses bustes (Auguste Renoir), tapisseries (XVIIe) ou autres pièces mythiques.

Lequel de ces hôtels _____________?

Situé à Joinville-le-Pont dans le Val-de- Marne, Tulip Résidences est un concept lifestyle hybride. Pensée par le cabinet Tremend Design et l’architecte Magdalena Frederowicz Boule, la décoration est d’inspiration scandinave dans les appartements et les espaces communs, apportant une atmosphère sobre et apaisante. Cet hôtel propose une approche différente de ce qui se fait sur le marché, associant un esprit lifestyle et une offre hybride. La résidence abrite ainsi un café, un espace de coworking et de bien-être.

Lequel de ces hôtels _____________?

L’hôtel Juana est né de l’imagination de l’entrepreneur Alexandre Barache au début des années 30. Son architecture (Georges Diganski), sa situation et son raffinement en font presque immédiatement le rendez-vous incontournable de la haute société de ces Années folles, où les milliardaires excentriques côtoyaient les stars du jazz et des personnalités telles que Winston Churchill ou l’Aga Khan. 30 ans plus tard, Picabia, Chagall, Picasso mais aussi les céramistes les plus renommés de la région investissent les lieux. C’est ensuite un tout autre art qui fait la réputation du Juana, au milieu des années 80: Alain Ducasse en fait le ler hôtel français à disposer d’une table doublement étoilée.

Lequel de ces hôtels _____________?

Voyager écoresponsable, parlons-en!

Originaire de Tours dans la vallée de la Loire, Claire, Webdesigner, programmeuse de jeux vidéo, coach sportif, animatrice jeunesse et blogueuse, est aussi une grande voyageuse. Après avoir déménagé à Paris pour y terminer ses études en informatique et y avoir travaillé pendant trois ans en tant que créatrice de sites internet, elle a pris la direction du Canada en 2012, en quête d’une bouffée d’air frais, pour poser ses valises à Montréal pendant deux ans où elle était programmeuse de jeux vidéo ludo-éducatifs. Après un premier périple solo au Brésil en 2013, c’est finalement en 2014 que le virus du voyage est venu la titiller et qu’elle a décidé de partir sur la route pour de bon, embrassant la vie de «digital nomade» et allant un peu partout sur la planète, avant un retour en France. Elle est désormais installée à Grenoble, la ville écolo par excellence, où elle prend plaisir à côtoyer des gens qui lui correspondent. Elle se consacre plus intensément au blog qu’elle avait créé en février 2010 à l’issue de ses études, «the Green Geekette», un blog axé sur le voyage écoresponsable (slow travel, voyage en stop, randonnée…), les destinations nature durables et les activités sportives de plein air.

Elle a pris une décision radicale l’an dernier au terme d’une profonde remise en question. «L’année 2018 a effectivement été pour moi une année de prise de conscience. J’ai eu un électrochoc. Je me suis rendue en Irlande où des blogueurs de voyage avaient été invités. On nous a déposés sur un site et on nous a dit: «Vous avez 15 minutes pour prendre de belles photos et ensuite les publier sur Instagram.» Là, je me suis demandé quel était le sens de tout cela…

En réalité, Claire se sentait à l’époque en dissonance cognitive. Cela signifie qu’elle faisait des actes qui ne correspondaient plus à ses valeurs. «C’est alors que j’ai réalisé à quel point l’avion ne me correspondait plus. L’avion, c’est rapide et facile. Je saisissais toutes les opportunités, je consommais des voyages sans mesure. Je faisais des sauts de puce pour voir un maximum de lieux, je voulais tout rentabiliser et je ne prenais plus le temps. Et surtout, j’ai peu à peu conscientisé le fait que pour le bien de notre planète, cela n’allait pas que je prenne des longs courriers trois à quatre fois par an sous prétexte que je suis une bloggeuse.» «Je me suis aussi intéressée au bilan carbone de mes voyages. Et j’ai constaté que tous mes efforts quotidiens – j’utilise des cosmétiques bio, je mange bio et végé, je suis dans une démarche zéro déchet, je vais dans des hébergements écoresponsables, j’opte pour des activités respectueuses des animaux et de la nature… – étaient bousillés par mes vols au long cours.» Du jour au lendemain, Claire a décidé de ne plus voyager en avion, mais au contraire de privilégier la mobilité douce (vélo, bus, train, bateau), partir moins loin, rester plus longtemps sur place, aller à la rencontre de l’autre, rechercher l’authenticité. «J’ai comparé le bilan carbone de mes voyages en 2019 avec celui de 2018. En 2019, ma consommation de CO2 est de 900 kilos alors qu’elle était de 17 tonnes l’an dernier…»

Luc Ruidant

Dans quel but Luc Ruidant a-t-il rédigé cet article?

Voyager écoresponsable, parlons-en!

Originaire de Tours dans la vallée de la Loire, Claire, Webdesigner, programmeuse de jeux vidéo, coach sportif, animatrice jeunesse et blogueuse, est aussi une grande voyageuse. Après avoir déménagé à Paris pour y terminer ses études en informatique et y avoir travaillé pendant trois ans en tant que créatrice de sites internet, elle a pris la direction du Canada en 2012, en quête d’une bouffée d’air frais, pour poser ses valises à Montréal pendant deux ans où elle était programmeuse de jeux vidéo ludo-éducatifs. Après un premier périple solo au Brésil en 2013, c’est finalement en 2014 que le virus du voyage est venu la titiller et qu’elle a décidé de partir sur la route pour de bon, embrassant la vie de «digital nomade» et allant un peu partout sur la planète, avant un retour en France. Elle est désormais installée à Grenoble, la ville écolo par excellence, où elle prend plaisir à côtoyer des gens qui lui correspondent. Elle se consacre plus intensément au blog qu’elle avait créé en février 2010 à l’issue de ses études, «the Green Geekette», un blog axé sur le voyage écoresponsable (slow travel, voyage en stop, randonnée…), les destinations nature durables et les activités sportives de plein air.

Elle a pris une décision radicale l’an dernier au terme d’une profonde remise en question. «L’année 2018 a effectivement été pour moi une année de prise de conscience. J’ai eu un électrochoc. Je me suis rendue en Irlande où des blogueurs de voyage avaient été invités. On nous a déposés sur un site et on nous a dit: «Vous avez 15 minutes pour prendre de belles photos et ensuite les publier sur Instagram.» Là, je me suis demandé quel était le sens de tout cela…

En réalité, Claire se sentait à l’époque en dissonance cognitive. Cela signifie qu’elle faisait des actes qui ne correspondaient plus à ses valeurs. «C’est alors que j’ai réalisé à quel point l’avion ne me correspondait plus. L’avion, c’est rapide et facile. Je saisissais toutes les opportunités, je consommais des voyages sans mesure. Je faisais des sauts de puce pour voir un maximum de lieux, je voulais tout rentabiliser et je ne prenais plus le temps. Et surtout, j’ai peu à peu conscientisé le fait que pour le bien de notre planète, cela n’allait pas que je prenne des longs courriers trois à quatre fois par an sous prétexte que je suis une bloggeuse.» «Je me suis aussi intéressée au bilan carbone de mes voyages. Et j’ai constaté que tous mes efforts quotidiens – j’utilise des cosmétiques bio, je mange bio et végé, je suis dans une démarche zéro déchet, je vais dans des hébergements écoresponsables, j’opte pour des activités respectueuses des animaux et de la nature… – étaient bousillés par mes vols au long cours.» Du jour au lendemain, Claire a décidé de ne plus voyager en avion, mais au contraire de privilégier la mobilité douce (vélo, bus, train, bateau), partir moins loin, rester plus longtemps sur place, aller à la rencontre de l’autre, rechercher l’authenticité. «J’ai comparé le bilan carbone de mes voyages en 2019 avec celui de 2018. En 2019, ma consommation de CO2 est de 900 kilos alors qu’elle était de 17 tonnes l’an dernier…»

Luc Ruidant

Qu’est-ce qui a poussé Claire à changer ses habitudes de se déplacer?

Voyager écoresponsable, parlons-en!

Originaire de Tours dans la vallée de la Loire, Claire, Webdesigner, programmeuse de jeux vidéo, coach sportif, animatrice jeunesse et blogueuse, est aussi une grande voyageuse. Après avoir déménagé à Paris pour y terminer ses études en informatique et y avoir travaillé pendant trois ans en tant que créatrice de sites internet, elle a pris la direction du Canada en 2012, en quête d’une bouffée d’air frais, pour poser ses valises à Montréal pendant deux ans où elle était programmeuse de jeux vidéo ludo-éducatifs. Après un premier périple solo au Brésil en 2013, c’est finalement en 2014 que le virus du voyage est venu la titiller et qu’elle a décidé de partir sur la route pour de bon, embrassant la vie de «digital nomade» et allant un peu partout sur la planète, avant un retour en France. Elle est désormais installée à Grenoble, la ville écolo par excellence, où elle prend plaisir à côtoyer des gens qui lui correspondent. Elle se consacre plus intensément au blog qu’elle avait créé en février 2010 à l’issue de ses études, «the Green Geekette», un blog axé sur le voyage écoresponsable (slow travel, voyage en stop, randonnée…), les destinations nature durables et les activités sportives de plein air.

Elle a pris une décision radicale l’an dernier au terme d’une profonde remise en question. «L’année 2018 a effectivement été pour moi une année de prise de conscience. J’ai eu un électrochoc. Je me suis rendue en Irlande où des blogueurs de voyage avaient été invités. On nous a déposés sur un site et on nous a dit: «Vous avez 15 minutes pour prendre de belles photos et ensuite les publier sur Instagram.» Là, je me suis demandé quel était le sens de tout cela…

En réalité, Claire se sentait à l’époque en dissonance cognitive. Cela signifie qu’elle faisait des actes qui ne correspondaient plus à ses valeurs. «C’est alors que j’ai réalisé à quel point l’avion ne me correspondait plus. L’avion, c’est rapide et facile. Je saisissais toutes les opportunités, je consommais des voyages sans mesure. Je faisais des sauts de puce pour voir un maximum de lieux, je voulais tout rentabiliser et je ne prenais plus le temps. Et surtout, j’ai peu à peu conscientisé le fait que pour le bien de notre planète, cela n’allait pas que je prenne des longs courriers trois à quatre fois par an sous prétexte que je suis une bloggeuse.» «Je me suis aussi intéressée au bilan carbone de mes voyages. Et j’ai constaté que tous mes efforts quotidiens – j’utilise des cosmétiques bio, je mange bio et végé, je suis dans une démarche zéro déchet, je vais dans des hébergements écoresponsables, j’opte pour des activités respectueuses des animaux et de la nature… – étaient bousillés par mes vols au long cours.» Du jour au lendemain, Claire a décidé de ne plus voyager en avion, mais au contraire de privilégier la mobilité douce (vélo, bus, train, bateau), partir moins loin, rester plus longtemps sur place, aller à la rencontre de l’autre, rechercher l’authenticité. «J’ai comparé le bilan carbone de mes voyages en 2019 avec celui de 2018. En 2019, ma consommation de CO2 est de 900 kilos alors qu’elle était de 17 tonnes l’an dernier…»

Luc Ruidant

Que signifie l’expression «Je faisais des sauts de puce…» selon Claire?

Voyager écoresponsable, parlons-en!

Originaire de Tours dans la vallée de la Loire, Claire, Webdesigner, programmeuse de jeux vidéo, coach sportif, animatrice jeunesse et blogueuse, est aussi une grande voyageuse. Après avoir déménagé à Paris pour y terminer ses études en informatique et y avoir travaillé pendant trois ans en tant que créatrice de sites internet, elle a pris la direction du Canada en 2012, en quête d’une bouffée d’air frais, pour poser ses valises à Montréal pendant deux ans où elle était programmeuse de jeux vidéo ludo-éducatifs. Après un premier périple solo au Brésil en 2013, c’est finalement en 2014 que le virus du voyage est venu la titiller et qu’elle a décidé de partir sur la route pour de bon, embrassant la vie de «digital nomade» et allant un peu partout sur la planète, avant un retour en France. Elle est désormais installée à Grenoble, la ville écolo par excellence, où elle prend plaisir à côtoyer des gens qui lui correspondent. Elle se consacre plus intensément au blog qu’elle avait créé en février 2010 à l’issue de ses études, «the Green Geekette», un blog axé sur le voyage écoresponsable (slow travel, voyage en stop, randonnée…), les destinations nature durables et les activités sportives de plein air.

Elle a pris une décision radicale l’an dernier au terme d’une profonde remise en question. «L’année 2018 a effectivement été pour moi une année de prise de conscience. J’ai eu un électrochoc. Je me suis rendue en Irlande où des blogueurs de voyage avaient été invités. On nous a déposés sur un site et on nous a dit: «Vous avez 15 minutes pour prendre de belles photos et ensuite les publier sur Instagram.» Là, je me suis demandé quel était le sens de tout cela…

En réalité, Claire se sentait à l’époque en dissonance cognitive. Cela signifie qu’elle faisait des actes qui ne correspondaient plus à ses valeurs. «C’est alors que j’ai réalisé à quel point l’avion ne me correspondait plus. L’avion, c’est rapide et facile. Je saisissais toutes les opportunités, je consommais des voyages sans mesure. Je faisais des sauts de puce pour voir un maximum de lieux, je voulais tout rentabiliser et je ne prenais plus le temps. Et surtout, j’ai peu à peu conscientisé le fait que pour le bien de notre planète, cela n’allait pas que je prenne des longs courriers trois à quatre fois par an sous prétexte que je suis une bloggeuse.» «Je me suis aussi intéressée au bilan carbone de mes voyages. Et j’ai constaté que tous mes efforts quotidiens – j’utilise des cosmétiques bio, je mange bio et végé, je suis dans une démarche zéro déchet, je vais dans des hébergements écoresponsables, j’opte pour des activités respectueuses des animaux et de la nature… – étaient bousillés par mes vols au long cours.» Du jour au lendemain, Claire a décidé de ne plus voyager en avion, mais au contraire de privilégier la mobilité douce (vélo, bus, train, bateau), partir moins loin, rester plus longtemps sur place, aller à la rencontre de l’autre, rechercher l’authenticité. «J’ai comparé le bilan carbone de mes voyages en 2019 avec celui de 2018. En 2019, ma consommation de CO2 est de 900 kilos alors qu’elle était de 17 tonnes l’an dernier…»

Luc Ruidant

Dans quel milieu la blogueuse vit-elle après son premier voyage?

Voyager écoresponsable, parlons-en!

Originaire de Tours dans la vallée de la Loire, Claire, Webdesigner, programmeuse de jeux vidéo, coach sportif, animatrice jeunesse et blogueuse, est aussi une grande voyageuse. Après avoir déménagé à Paris pour y terminer ses études en informatique et y avoir travaillé pendant trois ans en tant que créatrice de sites internet, elle a pris la direction du Canada en 2012, en quête d’une bouffée d’air frais, pour poser ses valises à Montréal pendant deux ans où elle était programmeuse de jeux vidéo ludo-éducatifs. Après un premier périple solo au Brésil en 2013, c’est finalement en 2014 que le virus du voyage est venu la titiller et qu’elle a décidé de partir sur la route pour de bon, embrassant la vie de «digital nomade» et allant un peu partout sur la planète, avant un retour en France. Elle est désormais installée à Grenoble, la ville écolo par excellence, où elle prend plaisir à côtoyer des gens qui lui correspondent. Elle se consacre plus intensément au blog qu’elle avait créé en février 2010 à l’issue de ses études, «the Green Geekette», un blog axé sur le voyage écoresponsable (slow travel, voyage en stop, randonnée…), les destinations nature durables et les activités sportives de plein air.

Elle a pris une décision radicale l’an dernier au terme d’une profonde remise en question. «L’année 2018 a effectivement été pour moi une année de prise de conscience. J’ai eu un électrochoc. Je me suis rendue en Irlande où des blogueurs de voyage avaient été invités. On nous a déposés sur un site et on nous a dit: «Vous avez 15 minutes pour prendre de belles photos et ensuite les publier sur Instagram.» Là, je me suis demandé quel était le sens de tout cela…

En réalité, Claire se sentait à l’époque en dissonance cognitive. Cela signifie qu’elle faisait des actes qui ne correspondaient plus à ses valeurs. «C’est alors que j’ai réalisé à quel point l’avion ne me correspondait plus. L’avion, c’est rapide et facile. Je saisissais toutes les opportunités, je consommais des voyages sans mesure. Je faisais des sauts de puce pour voir un maximum de lieux, je voulais tout rentabiliser et je ne prenais plus le temps. Et surtout, j’ai peu à peu conscientisé le fait que pour le bien de notre planète, cela n’allait pas que je prenne des longs courriers trois à quatre fois par an sous prétexte que je suis une bloggeuse.» «Je me suis aussi intéressée au bilan carbone de mes voyages. Et j’ai constaté que tous mes efforts quotidiens – j’utilise des cosmétiques bio, je mange bio et végé, je suis dans une démarche zéro déchet, je vais dans des hébergements écoresponsables, j’opte pour des activités respectueuses des animaux et de la nature… – étaient bousillés par mes vols au long cours.» Du jour au lendemain, Claire a décidé de ne plus voyager en avion, mais au contraire de privilégier la mobilité douce (vélo, bus, train, bateau), partir moins loin, rester plus longtemps sur place, aller à la rencontre de l’autre, rechercher l’authenticité. «J’ai comparé le bilan carbone de mes voyages en 2019 avec celui de 2018. En 2019, ma consommation de CO2 est de 900 kilos alors qu’elle était de 17 tonnes l’an dernier…»

Luc Ruidant

En quelle année Claire a-t-elle pris goût aux voyages?

Le gardien turc Sinan Bolat s’est engagé pour quatre ans avec Westerlo (Belgique). Le club, qui effectuera son retour parmi l’élite du football belge la saison prochaine, l’a annoncé hier.

Au total, 117 des 160 écoles wallonnes concernées par l’édition 2021-2022 de la labellisation «École Plus Propre» ont reçu leur label hier lors d’une remise des prix à Namur, ont annoncé les associations sans but lucratif (ASBL) Fost Plus et Be WaPP. Ces ASBL ont récompensé les établissements scolaires pour les nombreux efforts accomplis en matière de propreté à l’école.

Trois ans après la sortie de son premier album en solo, «Chocolat», Roméo Elvis est de retour pour nous présenter son tout nouvel album, «Tout Peut Arriver». Sur ce projet, Roméo nous fait voyager dans son univers et revient plus sincère et touchant que jamais. L’artiste choisit de retrouver son public à Saint-Josse-ten-Noode, à travers ce projet, de façon la plus vraie et la plus directe. L’univers est authentique et mélodieux et Roméo nous emmène dans son album à travers différentes émotions et différents thèmes (amour, réseaux sociaux, amitié, quotidien, etc.) dont il parle avec une sincérité et un humour qui lui sont propres.

Porto évoque pour beaucoup les repas du dimanche chez les grands-parents avec un «doigt de porto» à l’apéritif, une boisson à l’image quelque peu désuète. Mais c’est aussi et avant tout une grande et belle ville ancienne du Portugal. La Ribeira, la Croisière des six ponts vous donneront, à coup sûr, une image bien différente de Porto.

Le Port de Bruxelles a mis à l’eau, hier, son troisième bateau nettoyeur, le premier du genre propulsé par un moteur électrique, zéro émission. Le Damona vient rejoindre le Castor et le Botia, deux bateaux nettoyeurs actifs dans le port depuis 2006 et 2019. Il renforce les moyens matériels du Port pour améliorer la propreté des 80 ha de plan d’eau que représentent les 14 km de canal en Région de Bruxelles-Capitale.