J’aime l’automne. Le soleil ne brûle pas. Il y a des nuages dans le ciel. Je fais toujours ________ dans les parcs de la ville.

Quand Lisa est arrivée à la station balnéaire, elle s’est dirigée vers son __________ au bord de la mer.

Les pluies, parfois __________, remontent de la Nouvelle-Aquitaine en direction de la Bretagne, alors que le temps reste sec et plus doux de la vallée du Rhône à l’Alsace.

La première sonde arabe en direction de Mars doit s’envoler le 15 juillet, depuis le Japon, pour __________ l’atmosphère de la planète rouge.

Sauvez les océans, changez de brosse à dents!

S’il y a bien un objet du quotidien qui n’a quasiment pas évolué depuis sa création, c’est bien celui-là: la brosse à dents. Pourtant, elle représente un problème majeur (33) __________ aujourd’hui: elle n’est ni recyclable, ni biodégradable. En effet, elle (34) ___________ qui est très difficilement décomposable.

Résultat, nous avons aujourd’hui des brosses à dents bon marché, mais au coût environnemental énorme. Il est souvent conseillé (35) __________. La plupart d’entre nous utilise donc près de 300 brosses à dents au cours de leur vie… et en jette tout autant. Fabriquées en plastique non recyclable, elles sont soit brûlées, soit abandonnées dans la nature. On estime que chaque année, ce sont 4,7 milliards de brosses à dents qui finissent dans les décharges, ou pire, dans les océans. Or, (36) __________ l’environnement pendant plus de 500 ans.

Alors comment (37) ___________ de l’environnement? Des solutions existent, et l’offre est d’ailleurs en plein développement.

La première étape est donc d’opter pour une brosse avec des têtes remplaçables. Selon les modèles, cela permet d’économiser jusqu’à 80 % des matériaux. Les modèles écologiques proposent (38) __________ : non biodégradables, ils sont au moins recyclables. Les alternatives parfaitement écologiques sont rares, mais elles existent. Par exemple, les poils en soie de porc. Naturels et donc plus robustes, ils ont aussi une durée de vie plus longue. [...]

Sauvez les océans, changez de brosse à dents!

S’il y a bien un objet du quotidien qui n’a quasiment pas évolué depuis sa création, c’est bien celui-là: la brosse à dents. Pourtant, elle représente un problème majeur (33) __________ aujourd’hui: elle n’est ni recyclable, ni biodégradable. En effet, elle (34) ___________ qui est très difficilement décomposable.

Résultat, nous avons aujourd’hui des brosses à dents bon marché, mais au coût environnemental énorme. Il est souvent conseillé (35) __________. La plupart d’entre nous utilise donc près de 300 brosses à dents au cours de leur vie… et en jette tout autant. Fabriquées en plastique non recyclable, elles sont soit brûlées, soit abandonnées dans la nature. On estime que chaque année, ce sont 4,7 milliards de brosses à dents qui finissent dans les décharges, ou pire, dans les océans. Or, (36) __________ l’environnement pendant plus de 500 ans.

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Un jeune ébéniste allemand invente en 1819 une nouvelle technique pour travailler le bois massif et le courber sous l’effet de la vapeur. De cette technique dite du cintrage vont naître des meubles aux formes inédites jusque-là comme des chaises, des tables et des porte-manteaux.

Le portemanteau que Monsieur Thonet nomme «perroquet», on va le croiser d’abord dans les cafés, servant à débarrasser élégamment les clients avant d’arriver dans les intérieurs privés. Très «Belle Époque» – ses formes courbes et arrondies préfigurent le style Art nouveau. Certains modèles plus travaillés dans leur forme permettaient aussi de faire office de porte-parapluies.

Que signifie le mot «perroquet» dans ce texte?

Acheter un vêtement pour la bonne cause. C’est ce que proposent les 120 créateurs français et internationaux qui participent à la vente aux enchères en ligne «La Mode s’engage». Depuis le 1^er mai et jusqu’à ce soir, des centaines de pièces de créateurs et de haute couture sont mises aux enchères sur une plateforme dédiée, avec un prix unique de départ fixé à 100 euros.

Les bénéfices de cette vente organisée en partenariat avec l’Institut français de la mode et la Fédération de la haute couture et de la mode seront reversés au collectif #ProtegeTonSoignant.

Les fonds serviront à financer du matériel médical destiné aux personnels soignants. «Nous, créateurs de mode, rejoignons le mouvement citoyen #ProtegeTonSoignant à l’occasion d’une vente aux enchères inédites de pièces collector de couleur bleue, symbole de notre unité dans cet engagement», expliquent les créateurs de mode qui participent à l’opération.

Pourquoi les créateurs de mode participent-ils au mouvement en ligne?

Un ballon dirigeable comme une invitation au voyage en couverture, le premier numéro de Dong! est disponible à partir de ce mois de janvier. 4 exemplaires sont prévus par an, les 10-15 ans pourront l’acheter dans les librairies, 12 euros l’exemplaire, ou bien s’abonner. À l’origine de cette heureuse initiative, un binôme: Raphaële Botte, journaliste (Mon Quotidien, Lire, Le Monde des Livres), et Isabelle Péhourticq, éditrice (responsable des documentaires chez Actes Sud). La revue est publiée par les éditions Actes Sud Junior.

Qu’est-ce que c’est Dong!?

À 23 ans seulement, Félicien Bogaerts est animateur télé, radio et un militant écologiste reconnu en Belgique et en France.

Journaliste – Tu as co-fondé Le Biais Vert, qui compte 52 000 abonnés sur Facebook, tu animes l’émission Plant Cult’ sur la RTBF (Radio-télévision belge de
la Communauté française), et tu as seulement 23 ans. Comment tout ça a commencé?

F.B. – J’ai commencé à la radio à 16 ans sur Classic 21 qui est une chaîne rock. J’avais envie de faire de la radio depuis tout petit, j’étais passionné par le rock, et j’avais déjà dans l’idée de raconter des histoires. J’aimais bien Classic 21 parce qu’il y avait de la place pour l’expertise musicale. Je suis arrivé sur Classic 21 en envoyant un mail tout bêtement. C’était pour faire une séquence qui remettait la musique dans son contexte historique. Et comme j’étais jeune et la démarche était insolite, ça a tapé dans l’oeil du patron de l’époque Marc Isaye qui m’a engagé. Petit à petit à la RTBF j’ai poursuivi mon petit bonhomme de chemin. Jusqu’à Plan cult’ aujourd’hui. Parallèlement j’ai commencé à m’intéresser à la vidéo avec un ami. Et on a développé une conscience écologique, qui pour moi est la moindre des choses.

Félicien, qu’a-t-il fait pour commencer à travailler sur Classic 21?